samedi 14 septembre 2013

Finissage

Pour finaliser l'exposition Courbures, le collectif Midi13 invite plusieurs artistes à se rencontrer
et à mener ensemble une improvisation multidisciplinaire basée sur leurs vision de l'exposition.

Pour y participer Sébastien Lucas, plasticien vidéaste montrera patte noire sur les murs du Kitchen by Kitchen, le sol sera lui foulé et refoulé par un duo inattendu, Flavio Marques (danseur) et Marie-Laure Vrancken (comédienne-danseuse), et Quentin Gayrard poussera le son au centre de l'exposition pour y faire retentir les escaliers de la gamme du saxophone.


La suite vous surprendra peut-être : une palette d'artistes pour un tableau musical dynamique et festif, sans pour autant oublier la passion de la voix et des douceurs chromatiques.
À la flûte : Anne-Louise Charrier et Marine Falque-Vert, au piano : Quentin Meurisse, au chant : Violena Iwaniuk, et au saxophone : Quentin Gayrard.





Ainsi le collectif Midi13 vous accueille pour un finissage collectivement riche.  

mercredi 4 septembre 2013

Exposition

L'exposition se déroule du 30/08 au 14/09, tous les jours de 15h à 18h sauf le dimanche.

Le finissage aura lieu le 15/09 à 15h30.
Impro vers 16h et concert vers 17h.

dimanche 18 août 2013

Vernissage

Petite nouvelle du jour,

Le collectif Midi13 a le plaisir de divulguer la date du vernissage pour l'exposition Courbures qui se déroulera bientôt au Kitchen by kitchen, 20 Boulevard d’Ypres (5 min de la place Ste-Catherine).

Rendez-vous le 29 août 2013 à 18h.

L'entrée se fait sur présentation d'une invitation

Vous pouvez vous procurer une e-invitation en contactant:

dimanche 28 juillet 2013

Saiko


Saiko est une artiste avec déjà plusieurs expositions à son actif en Belgique et au Japon.

Depuis quelques temps, elle développe une thématique liée à la métamorphose du corps humain et tente d’en approcher le sens au plus près, à l'aide de techniques très diverses dans différentes disciplines artistiques : textiles, produits alimentaires, photographies, vidéos etc. Elle poursuit son concept qu'elle appelle «Visualization of Invisibility». Ses travaux consistent à concevoir et à relever des choses habituelles et ordinaires de notre vie quotidienne. Le foyer de son monde a pour sujet la métamorphose du corps ; pour cela elle se crée un univers de fiction en travaillant sur la cellule, la peau, les organes, la graisse, etc. Le but de son travail est de mettre en parallèle le système organique à partir duquel elle travaille et les systèmes plus vastes qui organisent la vie sociale. Elle propose donc de mettre en question le système actuel et toutes les idées générales qu'il véhicule.

Série Inside.

Le but de ces travaux est de faire penser à l’intérieur du corps.


Ces images présentent une fiction des entrailles. La réalité dans cette fiction est que ces pseudo-organes pourraient être assimilés à l’intérieur du corps et devenir de vrais organes. C’est-à-dire que ces organes imaginaires représentent soit une coupe d’organes sectionnés, soit une coupe dans un chou-rouge. L’image peut avoir un double sens.

La conscience commune du corps permet d’évoquer du sens par des pseudo-organes imaginaires.




"Mutation E" 
"Mutation D" 
"Kokoro ver. Mutation" (Saiko Maeda x Cypris Laboratorium)



"Inside C" 




© Saiko MAEDA 



jeudi 25 juillet 2013

Elise


Voici maintenant quatre ans qu’Elise met au cœur de son travail la question du corps, de l’empreinte, des frontières et des limites, du « ce qu’il y a entre ». Tout cela est mis en œuvre par le dessin et mais aussi en usant de l’outil photographique. Des corps qui naissent les uns des autres, co-naissent l’un à l’autre. L’empreinte de sa peau se pétrissant du dessin d’un autre corps, celui du modèle. La lutte entre ces corps hétérogènes ; leur fusion malgré tout.

Un jeu d’empreinte naît également à travers l’outil photographique. A partir de ses cheveux, Elise cherche à ouvrir tout un champ exploratoire. Les photogrammes, s’étalant comme de l’encre, se confondent avec la gravure ou le dessin, oscillent entre animal et végétal, mouvement du corps et paysage, densité et légèreté. Les frontières à nouveau se brouillent, luttent et interrogent.












"Quand le corps se met en oeuvre et cherche sa place à la jonction de l’injoignable.."




© Dcen